VibraZen a raison, les couleurs vives, ça attire l'oeil direct. Mais faut pas non plus que ça pique les yeux, hein. Un truc que je trouve payant, c'est de jouer sur les textures. Un matériau doux au toucher, ça invite presque instinctivement à s'approcher et à manipuler le produit.
L'histoire des textures, c'est super pertinent ! On a souvent tendance à se focaliser sur le visuel, mais l'aspect tactile est hyper important pour créer un lien avec le produit. Ça me donne des idées pour ma prochaine théâtralisation.
Ah oui, la théâtralisation... On dirait presque de la mise en scène, finalement. 👀 Tiens, en parlant de théâtre, je me demande si les techniques de persuasion utilisées par les acteurs pourraient s'appliquer à la vente en magasin. 🤔 Bref, revenons à nos gondoles ! L'idée d'AvrilStyle me fait penser qu'il faut surtout raconter une histoire, comme dit plus haut, et proposer une immersion sensorielle. C'est le combo gagnant, je pense. 💪
C'est clair que la théâtralisation, ça peut faire mouche. Après, faut pas en faire trop non plus, sinon le client se sent plus dans un spectacle que dans un magasin. Faut trouver le juste milieu, quoi. L'immersion sensorielle, j'y crois pas mal aussi, mais c'est parfois chaud à mettre en place, surtout si t'as pas beaucoup de place sur ta gondole. Mais si tu peux faire sentir un parfum, toucher une matière agréable, là, tu marques des points, c'est sûr.
C'est tout à fait ça Laurent, l'équilibre est hyper important. On pourrait croire que "plus on en fait, mieux c'est", mais non. L'idée, c'est pas d'en mettre plein la vue au point d'étouffer le produit, mais plutôt de créer une ambiance qui met en valeur ses atouts.
Pour l'immersion sensorielle, c'est vrai que la place est souvent un problème. Mais même avec peu d'espace, on peut trouver des astuces. Par exemple, dans une tête de gondole pour des produits alimentaires, on pourrait intégrer un petit diffuseur d'arômes discrets. Des études ont montré que l'olfaction a un impact considérable sur la mémorisation et l'attraction envers un produit. Une étude de la revue Journal of Marketing Research a révélé que les environnements parfumés peuvent augmenter l'intention d'achat jusqu'à 15%.
Et si on vend des vêtements, on peut jouer sur la présentation des matières, en les mettant en évidence de manière à ce que les clients aient envie de les toucher. Dans ce cas, avoir un échantillon à disposition, avec un petit panneau expliquant la douceur ou la particularité du tissu, ça peut vraiment faire la différence. L'engagement tactile peut augmenter le temps passé devant la gondole de 30%, selon une étude de l'université de Californie.
Faire appel à un pro de la PLV, comme le suggèrent les données, c'est une bonne idée, surtout si on n'a pas les compétences en interne. Ces experts peuvent vraiment aider à optimiser l'espace et à créer un visuel percutant.
Merci AvrilStyle pour toutes ces précisions et les études citées, c'est top de pouvoir s'appuyer sur des données concrètes. Je vais essayer de creuser la piste des arômes, ça peut être une bonne option pour certains de mes produits. Et l'idée de l'échantillon de tissu, c'est à retenir aussi !
Ah, Laurent, je suis d'accord que les données concrètes, ça aide énormément à justifier les choix et à convaincre. C'est moins 'feeling' et plus 'faits', tu vois ? 💪
Pour rebondir sur ce que disait AvrilStyle, et vu que tu sembles ouvert à l'olfactif, il y a des trucs assez dingues qui se font. J'avais lu un article (faut que je le retrouve, mais en gros) qui parlait de l'impact de l'odeur du cuir neuf dans les rayons de maroquinerie. Apparemment, ça booste les ventes de façon significative, même si les produits ne sont pas en cuir véritable ! C'est de la manipulation olfactive, certes, mais si c'est fait subtilement, je pense que ça peut vraiment créer une expérience mémorable pour le client.
Et pour l'histoire des textures, l'idée de l'échantillon, c'est top, mais il faut aussi penser à la manière dont c'est présenté. Genre, un petit présentoir qui met en valeur la douceur du tissu, avec une lumière chaude et un petit texte qui explique le processus de fabrication... Là, tu crées une vraie connexion avec le produit. C'est plus qu'un simple bout de tissu, c'est une histoire que tu racontes. Et l'histoire, comme on disait, c'est la clé ! 🧐
En plus, faut voir que tout ça, ça joue sur l'image de marque. Si tu proposes une expérience sensorielle positive, le client va associer ton produit à un sentiment agréable, et ça va l'inciter à revenir. C'est un investissement sur le long terme, quoi. Et puis, avec les réseaux sociaux, si les clients partagent leurs expériences positives, ça te fait de la pub gratuite ! 😎
Donc, oui, creuse les arômes et les textures, mais pense aussi à l'histoire que tu veux raconter et à l'expérience que tu veux créer. C'est ça, le vrai secret d'une tête de gondole qui cartonne, selon moi. 📢
le 14 Juin 2025
Couleurs vives et storytelling percutant. Testé et approuvé !
le 15 Juin 2025
L'expérience parle, c'est un bon point de départ. Merci.
le 16 Juin 2025
VibraZen a raison, les couleurs vives, ça attire l'oeil direct. Mais faut pas non plus que ça pique les yeux, hein. Un truc que je trouve payant, c'est de jouer sur les textures. Un matériau doux au toucher, ça invite presque instinctivement à s'approcher et à manipuler le produit.
le 16 Juin 2025
L'histoire des textures, c'est super pertinent ! On a souvent tendance à se focaliser sur le visuel, mais l'aspect tactile est hyper important pour créer un lien avec le produit. Ça me donne des idées pour ma prochaine théâtralisation.
le 17 Juin 2025
Ah oui, la théâtralisation... On dirait presque de la mise en scène, finalement. 👀 Tiens, en parlant de théâtre, je me demande si les techniques de persuasion utilisées par les acteurs pourraient s'appliquer à la vente en magasin. 🤔 Bref, revenons à nos gondoles ! L'idée d'AvrilStyle me fait penser qu'il faut surtout raconter une histoire, comme dit plus haut, et proposer une immersion sensorielle. C'est le combo gagnant, je pense. 💪
le 17 Juin 2025
C'est clair que la théâtralisation, ça peut faire mouche. Après, faut pas en faire trop non plus, sinon le client se sent plus dans un spectacle que dans un magasin. Faut trouver le juste milieu, quoi. L'immersion sensorielle, j'y crois pas mal aussi, mais c'est parfois chaud à mettre en place, surtout si t'as pas beaucoup de place sur ta gondole. Mais si tu peux faire sentir un parfum, toucher une matière agréable, là, tu marques des points, c'est sûr.
le 18 Juin 2025
Tellement vrai.
le 19 Juin 2025
C'est tout à fait ça Laurent, l'équilibre est hyper important. On pourrait croire que "plus on en fait, mieux c'est", mais non. L'idée, c'est pas d'en mettre plein la vue au point d'étouffer le produit, mais plutôt de créer une ambiance qui met en valeur ses atouts. Pour l'immersion sensorielle, c'est vrai que la place est souvent un problème. Mais même avec peu d'espace, on peut trouver des astuces. Par exemple, dans une tête de gondole pour des produits alimentaires, on pourrait intégrer un petit diffuseur d'arômes discrets. Des études ont montré que l'olfaction a un impact considérable sur la mémorisation et l'attraction envers un produit. Une étude de la revue Journal of Marketing Research a révélé que les environnements parfumés peuvent augmenter l'intention d'achat jusqu'à 15%. Et si on vend des vêtements, on peut jouer sur la présentation des matières, en les mettant en évidence de manière à ce que les clients aient envie de les toucher. Dans ce cas, avoir un échantillon à disposition, avec un petit panneau expliquant la douceur ou la particularité du tissu, ça peut vraiment faire la différence. L'engagement tactile peut augmenter le temps passé devant la gondole de 30%, selon une étude de l'université de Californie. Faire appel à un pro de la PLV, comme le suggèrent les données, c'est une bonne idée, surtout si on n'a pas les compétences en interne. Ces experts peuvent vraiment aider à optimiser l'espace et à créer un visuel percutant.
le 19 Juin 2025
Merci AvrilStyle pour toutes ces précisions et les études citées, c'est top de pouvoir s'appuyer sur des données concrètes. Je vais essayer de creuser la piste des arômes, ça peut être une bonne option pour certains de mes produits. Et l'idée de l'échantillon de tissu, c'est à retenir aussi !
le 20 Juin 2025
Ah, Laurent, je suis d'accord que les données concrètes, ça aide énormément à justifier les choix et à convaincre. C'est moins 'feeling' et plus 'faits', tu vois ? 💪 Pour rebondir sur ce que disait AvrilStyle, et vu que tu sembles ouvert à l'olfactif, il y a des trucs assez dingues qui se font. J'avais lu un article (faut que je le retrouve, mais en gros) qui parlait de l'impact de l'odeur du cuir neuf dans les rayons de maroquinerie. Apparemment, ça booste les ventes de façon significative, même si les produits ne sont pas en cuir véritable ! C'est de la manipulation olfactive, certes, mais si c'est fait subtilement, je pense que ça peut vraiment créer une expérience mémorable pour le client. Et pour l'histoire des textures, l'idée de l'échantillon, c'est top, mais il faut aussi penser à la manière dont c'est présenté. Genre, un petit présentoir qui met en valeur la douceur du tissu, avec une lumière chaude et un petit texte qui explique le processus de fabrication... Là, tu crées une vraie connexion avec le produit. C'est plus qu'un simple bout de tissu, c'est une histoire que tu racontes. Et l'histoire, comme on disait, c'est la clé ! 🧐 En plus, faut voir que tout ça, ça joue sur l'image de marque. Si tu proposes une expérience sensorielle positive, le client va associer ton produit à un sentiment agréable, et ça va l'inciter à revenir. C'est un investissement sur le long terme, quoi. Et puis, avec les réseaux sociaux, si les clients partagent leurs expériences positives, ça te fait de la pub gratuite ! 😎 Donc, oui, creuse les arômes et les textures, mais pense aussi à l'histoire que tu veux raconter et à l'expérience que tu veux créer. C'est ça, le vrai secret d'une tête de gondole qui cartonne, selon moi. 📢