C'est clair que la trad littérale, c'est souvent la cata, surtout en B2B où on doit vulgariser des concepts pointus. Perso, je fais toujours relire les trads par des experts du domaine, idéalement des natifs qui connaissent bien notre jargon. Ça coûte un peu plus cher, mais au moins, on est sûr que le message passe nickel.
C'est un sujet passionnant, et je suis d'accord, AvrilStyle, la relecture par des experts natifs, c'est un must. 👍
Au-delà de ça, je pense qu'il faut vraiment intégrer la traduction dès le début du processus de création du contenu. Trop souvent, on voit la traduction comme une simple étape de "conversion" à la fin, alors que c'est bien plus que ça. Il faut penser "global" dès la conception. 🤔
Par exemple, ça implique de :
* **Éviter les expressions idiomatiques trop spécifiques à une culture** : c'est le b.a.-ba, mais ça vaut toujours le coup de le rappeler. Un bon traducteur saura adapter, mais autant lui faciliter la tâche au maximum.
* **Soigner le style et la clarté du texte original** : plus le texte de départ est clair, plus la traduction sera facile et précise. On dirait une évidence, mais on a parfois tendance à bâcler la rédaction en interne, en se disant que la traduction arrangera le tout. Grossière erreur ! 😅
* **Fournir un glossaire terminologique précis** : surtout dans le B2B, où on a souvent un jargon très technique. Un glossaire partagé avec le traducteur permet d'assurer une cohérence terminologique sur tous les supports.
Et pour aller plus loin, je me demande si l'IA peut nous aider. J'ai vu des outils de traduction automatique qui sont de plus en plus performants, mais est-ce qu'ils sont vraiment fiables pour du contenu B2B ? Est-ce qu'il y a des risques de contresens ou d'erreurs qui pourraient nuire à notre image ? J'avoue que je suis partagée. D'un côté, ça pourrait faire gagner du temps et de l'argent, mais de l'autre, je ne veux pas sacrifier la qualité. Je me demande si des plateformes comme ml-traduction.fr peuvent être des solutions hybrides, combinant IA et expertise humaine. Je suis curieuse d'avoir vos avis sur le sujet. Et pour info, perso j'aime bien tester des trucs comme DeepL pour avoir une première version, mais après, c'est relecture obligatoire ! 😉
Quand VibraZen souligne l'importance d'intégrer la traduction dès le début, je suis 100% d'accord. On a trop souvent tendance à voir ça comme un simple "vernis" à la fin, alors que c'est une composante essentielle de la communication. En tant qu'analyste, je vois les chiffres : une mauvaise traduction, c'est une perte de leads assurée.
Et l'idée du glossaire terminologique, c'est juste fondamental, surtout dans nos secteurs pointus. Ça évite les approximations et les contresens qui peuvent coûter cher.
Certes, OmbreDeChêne, le glossaire c'est top, et je plussoie l'intégration de la trad en amont... ceci dit, je pense qu'on surestime parfois l'impact direct d'une "mauvaise" traduction (sans que ça devienne incompréhensible hein !). En B2B, le prospect est souvent plus intéressé par le fond, la solution proposée, que par la tournure de phrase. Si le produit répond à un besoin, une petite maladresse passe. Faut pas non plus psychoter et dépenser des mille et des cents pour une virgule mal placée...
DataSurfer a raison, restons pragmatiques ! Ceci dit, pour nuancer un peu, je pense que ça dépend aussi de l'image qu'on veut projeter. Une boite qui se positionne sur le haut de gamme ne peut pas se permettre des approximations. Pour illustrer, je vous partage une vidéo où Jack et Austen discutent des tenants et aboutissants de la traduction et de la transcréation dans le marketing, ça peut donner des pistes :
Bon, je reviens vers vous après quelques tests. J'ai suivi vos conseils, surtout celui de VibraZen sur l'intégration de la traduction dès le départ. On a bossé avec les équipes marketing pour avoir des textes sources hyper clairs et précis. Résultat : la trad s'est faite beaucoup plus facilement, et on a eu moins de retouches à faire. On a aussi testé DeepL pour une première version, comme suggéré, et c'est pas mal pour dégrossir, mais la relecture humaine reste indispensable, surtout pour le jargon technique. Au final, on a gagné du temps et de l'argent, tout en gardant un niveau de qualité top. Merci pour vos conseils !
Super retour d'expérience, Vague Sereine77 ! C'est exactement ce que je disais, la relecture humaine, c'est juste incontournable. Content que t'aies pu optimiser vos process et que DeepL vous ait aidé à dégraisser le boulot. Par contre, je suis d'accord avec PixelNomad, faut pas non plus négliger l'image de marque.
Quand tu dis avoir gagné du temps et de l'argent, ça m'intéresse ! T'as des chiffres à partager ? Parce que c'est bien beau de dire qu'on a optimisé, mais si on peut quantifier, c'est toujours mieux. Pour vous donner un ordre d'idée, chez nous, avant, une trad nous prenait en moyenne 5 jours avec au moins deux allers-retours avec le traducteur. Maintenant, on est tombé à 3 jours, et un seul aller-retour, grâce à un glossaire bien à jour et une meilleure préparation des textes sources.
Et concernant les coûts, on a réduit nos dépenses de trad de 15% en internalisant une partie du travail et en utilisant DeepL pour les textes les moins techniques. C'est pas énorme, mais c'est toujours ça de pris. Surtout qu'on a réinvesti cet argent dans la formation de nos équipes au marketing international.
Donc, pour résumer, oui à l'IA pour aider, mais non à la négligence de la qualité et de l'expertise humaine. Faut trouver le bon équilibre, quoi.
Vague Sereine77, ton retour est super instructif. Quand tu dis avoir gagné du temps et de l'argent, est-ce que tu pourrais préciser quel type de documents vous traduisez le plus souvent ? Et est-ce que vous avez constaté des différences significatives selon la complexité technique du contenu ?
le 03 Octobre 2025
C'est clair que la trad littérale, c'est souvent la cata, surtout en B2B où on doit vulgariser des concepts pointus. Perso, je fais toujours relire les trads par des experts du domaine, idéalement des natifs qui connaissent bien notre jargon. Ça coûte un peu plus cher, mais au moins, on est sûr que le message passe nickel.
le 04 Octobre 2025
C'est un sujet passionnant, et je suis d'accord, AvrilStyle, la relecture par des experts natifs, c'est un must. 👍 Au-delà de ça, je pense qu'il faut vraiment intégrer la traduction dès le début du processus de création du contenu. Trop souvent, on voit la traduction comme une simple étape de "conversion" à la fin, alors que c'est bien plus que ça. Il faut penser "global" dès la conception. 🤔 Par exemple, ça implique de : * **Éviter les expressions idiomatiques trop spécifiques à une culture** : c'est le b.a.-ba, mais ça vaut toujours le coup de le rappeler. Un bon traducteur saura adapter, mais autant lui faciliter la tâche au maximum. * **Soigner le style et la clarté du texte original** : plus le texte de départ est clair, plus la traduction sera facile et précise. On dirait une évidence, mais on a parfois tendance à bâcler la rédaction en interne, en se disant que la traduction arrangera le tout. Grossière erreur ! 😅 * **Fournir un glossaire terminologique précis** : surtout dans le B2B, où on a souvent un jargon très technique. Un glossaire partagé avec le traducteur permet d'assurer une cohérence terminologique sur tous les supports. Et pour aller plus loin, je me demande si l'IA peut nous aider. J'ai vu des outils de traduction automatique qui sont de plus en plus performants, mais est-ce qu'ils sont vraiment fiables pour du contenu B2B ? Est-ce qu'il y a des risques de contresens ou d'erreurs qui pourraient nuire à notre image ? J'avoue que je suis partagée. D'un côté, ça pourrait faire gagner du temps et de l'argent, mais de l'autre, je ne veux pas sacrifier la qualité. Je me demande si des plateformes comme ml-traduction.fr peuvent être des solutions hybrides, combinant IA et expertise humaine. Je suis curieuse d'avoir vos avis sur le sujet. Et pour info, perso j'aime bien tester des trucs comme DeepL pour avoir une première version, mais après, c'est relecture obligatoire ! 😉
le 04 Octobre 2025
Quand VibraZen souligne l'importance d'intégrer la traduction dès le début, je suis 100% d'accord. On a trop souvent tendance à voir ça comme un simple "vernis" à la fin, alors que c'est une composante essentielle de la communication. En tant qu'analyste, je vois les chiffres : une mauvaise traduction, c'est une perte de leads assurée. Et l'idée du glossaire terminologique, c'est juste fondamental, surtout dans nos secteurs pointus. Ça évite les approximations et les contresens qui peuvent coûter cher.
le 04 Octobre 2025
Certes, OmbreDeChêne, le glossaire c'est top, et je plussoie l'intégration de la trad en amont... ceci dit, je pense qu'on surestime parfois l'impact direct d'une "mauvaise" traduction (sans que ça devienne incompréhensible hein !). En B2B, le prospect est souvent plus intéressé par le fond, la solution proposée, que par la tournure de phrase. Si le produit répond à un besoin, une petite maladresse passe. Faut pas non plus psychoter et dépenser des mille et des cents pour une virgule mal placée...
le 05 Octobre 2025
Bien envoyé Vague Sereine77 ! 👍 Economisons nos euros, concentrons-nous sur l'essentiel. 💯
le 05 Octobre 2025
DataSurfer a raison, restons pragmatiques ! Ceci dit, pour nuancer un peu, je pense que ça dépend aussi de l'image qu'on veut projeter. Une boite qui se positionne sur le haut de gamme ne peut pas se permettre des approximations. Pour illustrer, je vous partage une vidéo où Jack et Austen discutent des tenants et aboutissants de la traduction et de la transcréation dans le marketing, ça peut donner des pistes :
le 05 Octobre 2025
Merci PixelNomad pour le partage de cette vidéo, ça apporte un éclairage supplémentaire !
le 05 Octobre 2025
Bon, je reviens vers vous après quelques tests. J'ai suivi vos conseils, surtout celui de VibraZen sur l'intégration de la traduction dès le départ. On a bossé avec les équipes marketing pour avoir des textes sources hyper clairs et précis. Résultat : la trad s'est faite beaucoup plus facilement, et on a eu moins de retouches à faire. On a aussi testé DeepL pour une première version, comme suggéré, et c'est pas mal pour dégrossir, mais la relecture humaine reste indispensable, surtout pour le jargon technique. Au final, on a gagné du temps et de l'argent, tout en gardant un niveau de qualité top. Merci pour vos conseils !
le 05 Octobre 2025
Super retour d'expérience, Vague Sereine77 ! C'est exactement ce que je disais, la relecture humaine, c'est juste incontournable. Content que t'aies pu optimiser vos process et que DeepL vous ait aidé à dégraisser le boulot. Par contre, je suis d'accord avec PixelNomad, faut pas non plus négliger l'image de marque. Quand tu dis avoir gagné du temps et de l'argent, ça m'intéresse ! T'as des chiffres à partager ? Parce que c'est bien beau de dire qu'on a optimisé, mais si on peut quantifier, c'est toujours mieux. Pour vous donner un ordre d'idée, chez nous, avant, une trad nous prenait en moyenne 5 jours avec au moins deux allers-retours avec le traducteur. Maintenant, on est tombé à 3 jours, et un seul aller-retour, grâce à un glossaire bien à jour et une meilleure préparation des textes sources. Et concernant les coûts, on a réduit nos dépenses de trad de 15% en internalisant une partie du travail et en utilisant DeepL pour les textes les moins techniques. C'est pas énorme, mais c'est toujours ça de pris. Surtout qu'on a réinvesti cet argent dans la formation de nos équipes au marketing international. Donc, pour résumer, oui à l'IA pour aider, mais non à la négligence de la qualité et de l'expertise humaine. Faut trouver le bon équilibre, quoi.
le 05 Octobre 2025
Merci AvrilStyle pour ce partage de chiffres concrets, c'est top de voir comment vous avez optimisé vos process et réduit vos coûts. 👍
le 05 Octobre 2025
Vague Sereine77, ton retour est super instructif. Quand tu dis avoir gagné du temps et de l'argent, est-ce que tu pourrais préciser quel type de documents vous traduisez le plus souvent ? Et est-ce que vous avez constaté des différences significatives selon la complexité technique du contenu ?